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Solar Warden - Flottes intergalactiques terrestres


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ATTENTION, cet article est à prendre avec des pincettes, il y a quelques jours vous m'auriez dit que la terre possédait une flotte de vaisseaux spatiaux je vous aurais traité de dingo.

Mais voilà les rumeurs courent sur Internet, et il y a quelques points qui sont troublants.

Pour comprendre le projet : Solar Warden, je vous ai trouvé ci-dessous un article qui provient à l'origine du site dramatic.ch.

Je le trouve clair pas trop long et bien étayé et qui présente d'une manière neutre Solar Warden.

À vous de faire vos petites recherches si ça vous intéresse et ainsi vous faire votre propre idée sur la question.

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Le programme spatial Solar Warden

Depuis les années 1980, une flotte spatiale secrète nommée « Solar Warden » a été secrètement développée. Cette théorie est partagée par divers lanceurs d'alerte et journalistes dans le monde entier.

Récemment, l'administration américaine a mis à disposition près de 250 000 pages de documents de l'administration du président Reagan ... Le matériel publié peut donner un aperçu d'un commentaire curieux trouvé dans le journal du président Reagan.

A l’entrée du mardi 11 juin 1985 (page 334 de ce journal) on peut lire ceci :

Diner avec 5 des meilleurs scientifiques de l'espace. C'était fascinant. L'espace est vraiment la dernière frontière et certains des développements en astronomie, etc., sont comme la science-fiction, sauf qu'ils sont réels. J'ai appris que notre capacité de navette est telle que nous pourrions mettre en orbite 300 personnes.
 

C'est curieux puisque la navette spatiale est conçue pour un maximum de huit personnes (onze en les tassant bien) et seulement cinq navettes ont été construites pour le vol spatial. Même si toutes les cinq décollaient à pleine charge, il serait impossible de placer et de maintenir 300 astronautes en orbite. Reagan a-t-il révélé l'existence d'un programme spatial hautement classifié pouvant accueillir des centaines d'astronautes en orbite ?

Plusieurs révélations convergent

Apparemment, selon des dizaines de sources militaires et corporatives, caché au sein de l'un des dix commandements unifiés de l'armée américaine, le Strategic Command, il existerait une flotte hautement secrète de véhicules antigravité de la taille de porte-avions qui opèrent dans l'espace.

Les États-Unis ont organisé leurs forces militaires en dix commandements unifiés de combattants respectivement dirigés par un seul général ou amiral quatre étoiles qui relève directement du secrétaire à la Défense. Six des commandements unifiées couvrent le globe en termes de zones géographiques différentes. En outre, il existe quatre commandements fonctionnels où des activités militaires spécialisées sont exécutées sous les ordres d’un seul « commandant des opérations ».

De 1985 à 2002, le Commandement spatial était responsable des opérations spatiales menées par l'armée américaine. En juin 2002, le Commandement spatial a fusionné avec un autre des commandements fonctionnels, le commandement stratégique, qui est responsable de toute une gamme d'activités spatiales, satellitaires, de missiles, des armes nucléaires et des renseignements. C’est maintenant le US Naval Network and Space Operations Command (NNSOC).

Les rumeurs voulant que les États-Unis disposent d'une flotte hautement classifiée de véhicules antigravité circulent depuis des années.
 

Le TR-3B et l’Aurora

Le 23 mars 1993, lors d'une conférence d'ingénieurs à Los Angeles, le Dr Ben Rich, ancien PDG de Lockheed's Skunkworks, a montré une diapositive avec un disque noir et a déclaré :

Nous possédons maintenant la technologie pour reconduire E.T. à la maison. 

Il existerait en réalité des véhicules dotés d’une technologie antigravitationnelle comme l'Aurora et le TR-3B. Des spéculations existaient depuis la fin des années 80 sur l’existence d’un remplaçant du Blackbird. Ce serait un engin qui volerait deux fois plus vite, à la limite de l’atmosphère terrestre. Cet avion mythique a été appelé l’Aurora.

Edgar Fouche, un ancien entrepreneur pour le ministère de la Défense, a prétendu que le remplacement du Blackbird (SR-71), l'Aurora, comprenait en réalité deux types d'avions hypersoniques utilisés pour le vol spatial.

Il a dit :
L'Aurora correspond au SR-75 capable de vitesses supérieures à Mach 5, et agissant comme un navire mère pour le SR-74 qui peut voyager dans l’espace à des vitesses de Mach 18 ou plus pour livrer des satellites. 
 
Fouche revendique également l’existence d’un autre engin, le fameux triangle noir, le TR-3B qui génère un champ magnétique intense qui réduit son poids de 89 pour cent. Ceci a pour effet que le pilote ne ressent que 11% de l’accélération. Il peut donc voler dix fois plus vite qu’un pilote de chasse traditionnel.

Le TR-3B utilise l'effet Biefeld-Brown (généré par de grandes charges électrostatiques) pour réduire son poids afin que des systèmes de propulsion plus conventionnels tels que les scramjets puissent lui donner des vitesses incroyables bien au-dessus de Mach 18. Toujours selon M. Fouche, le TR-3B mesurerait 600 pieds de diamètre, ce qui le rendrait comparable à un porte-avions. D’autres sources parlent de deux modèles : un qui serait grand comme un porte-avions et d’autres plus petits.

Des preuves circonstancielles indiquent l'existence d'une flotte spatiale secrète de véhicules antigravitationnels et beaucoup de spécialistes soupçonnent le TR-3B d’être à l’origine de la « vague belge » d’OVNIs observés en 1989-1990. Plus de 1000 rapports décrivent en effet un engin noir triangulaire avec une grosse lumière rouge au centre et une lumière vive, blanche, à chacun des angles. Mais le gouvernement américain a toujours réfuté les faits.

L'existence de véhicules antigravitationnels

Le 6 août 2007, la NASA a décerné à l’USAF le « Human Spaceflight Support Team » pour aider les véhicules de la NASA à éviter les débris spatiaux.

L'équipe de soutien faisait partie du Commandement spatial de l'USAF qui est déclaré publiquement être le commandant militaire principal fournissant des forces spatiales pour le commandement stratégique américain.

La citation souligne l'équipe pour son soutien exceptionnel en gardant la navette spatiale, la Station spatiale internationale et ses équipages à l'abri des dangers des débris orbitaux, des collisions de vaisseaux spatiaux et d'autres risques inhérents à l'exploitation de l'espace. Cependant, ni le Commandement spatial de l'USAF ni le Commandement stratégique ne sont publiquement connus pour avoir un quelconque type de véhicule spatial qui aiderait la navette spatiale ou la Station spatiale internationale contre les dangers orbitaux.

Normalement, les deux véhicules de la NASA nécessiteraient des corrections orbitales graduelles qui prendraient beaucoup de temps et seraient insuffisantes pour faire face à une menace immédiate.

Selon Ted Twietmeyer, la citation est une preuve circonstancielle de l'existence de véhicules antigravitationnels avec des armes à faisceau de particules avancées qui pourraient écarter les débris orbitaux de la trajectoire des véhicules de la NASA.

Ces escadrons de TR-3B opéreraient à partir de la zone 51, de ports spatiaux classés secrets sur l'île de Diego Garcia et d'un lieu secret en Antarctique, qui, selon Sigmund, un haut responsable du programme de l'Armée de l'Air dont le véritable nom n’est pas divulgué, serait également une importante installation de R & D.

Certains pensent que c’est l’un de ces engin qui aurait désintégré le Météore de Tcheliabinsk le 15 février 2013, quelques minutes avant qu’il ne percute la terre à très grande vitesse. Il a été détruit à 25 km du sol.

Des pilotes extraterrestres

L'idée qu'il existe une flotte spatiale secrète pouvant intervenir pour assister la navette spatiale ou la station spatiale internationale est également soutenue par le témoignage d'un ancien employé de la NASA.

Clark McClelland a travaillé comme opérateur SpaceCraft pour des missions de la navette spatiale entre 1989 et 1992. Il prétend avoir vu un astronaute de huit à neuf pieds de haut et ce qui semblait être un véhicule antigravité à ailes delta à proximité de lui.

Puisque McClelland connaissait tous les astronautes du programme de la navette spatiale de la NASA, il supposait que le très grand être dans une combinaison spatiale était un extraterrestre.

Bien qu'une telle possibilité ne puisse être exclue, l'être et le véhicule à proximité en forme de delta peuvent en fait faire partie d'une flotte spatiale secrète attachée au commandement stratégique américain.

L’affaire McKinnon qui a tout révélé

McKinnon

McKinnon le hacker de la Nasa
L'idée d'une flotte spatiale secrète utilisant des technologies de pointe a été renforcée par un pirate britannique, Gary McKinnon, qui risque d'être extradé vers les États-Unis pour piratage d'ordinateurs gouvernementaux et militaires américains. Il est accusé par le ministère de la Justice d’avoir commis « le plus gros piratage informatique de tous les temps » et s'est vu infliger jusqu'à septante ans de prison après son extradition du Royaume-Uni. C’est la Première Ministre Theresa May qui s’est personnellement opposée à son extradition, mais pour combien de temps ?

Gary McKinnon, un informaticien anglais, a donc réussi à s’introduire dans les ordinateurs du Pentagone et de la Nasa. Il ne cherchait pas à pirater mais cherchait simplement des informations concernant les OVNIs. Il affirme avoir trouvé des fichiers secrets du Pentagone et de la NASA contenant une liste d' « agents non terrestres » et un tableur détaillant les « transferts de flotte à flotte ».

Le grand personnage représenté avec les deux astronautes de la navette spatiale pourrait-il appartenir à un groupe d '« officiers non terrestres » qui aident périodiquement les programmes de la navette spatiale à travers le Space Command de l'US Air Force ?
 

Le programme de guerre des étoiles de Reagan

Le programme IDS de Ronald Reagan
Basé sur les preuves disponibles de diverses sources, l'article du Journal de Reagan écrit en 1985 est une reconnaissance franche d'un programme spatial classifié pouvant transporter et héberger des centaines d'astronautes. L'entrée du journal suggère qu'il a reçu une ou plusieurs séances d'information sur le sujet.

Si on se replace à cette époque on se rappelle que la première station habitée dans l'espace était Salyut 1 en 1971. Les États-Unis ont suivi peu de temps après avec Skylab en 1973. Il s’agissait d’un programme civil de la NASA, qui était officiellement la première station spatiale américaine habitée selon les historiens conventionnels.

Skylab a fonctionné jusqu'en 1979 et était consacré à la recherche scientifique. Après ? Plus rien. Il faudrait attendre l’an 2000 pour revoir à nouveau les américains dans une station spatiale : la Station Spatiale Internationale. On voudrait laisser croire au monde que l'armée américaine comptaient uniquement sur des satellites espions pour mener une surveillance depuis l'orbite terrestre.

Le programme de la navette spatiale américaine a débuté en 1981 et a mené diverses missions en orbite terrestre basse, comme le placement de satellites dans l'espace. À partir de 1979, jusqu'à l'arrivée des premiers astronautes américains à la Station spatiale internationale en 2000, les États-Unis ne disposaient pas d'une station habitée dans l'espace selon le registre public officiel. Pourtant, un passage dans le journal du président Ronald Reagan indiquait qu'il y avait effectivement une présence américaine permanente en orbite autour de la Terre.

On sait aussi que le président Reagan a lancé en 1983 le programme « IDS » (Initiative de défense stratégique) surnommé « Guerre des Etoiles » par les médias. Nous étions en pleine guerre froide. Il s’agissait d’un vaste projet de bouclier anti-missile à l’encontre d’une éventuelle frappe nucléaire soviétique. Certains pensent que ce projet était autant destiné à protéger les Etats-Unis contre une attaque extraterrestre ou contre des « bolides » de l’espaces (ces météores qui sont susceptibles de frapper la Terre de manière dramatique) que contre les russes. L’IDS pouvait également être une couverture pour dissimuler la mise en place de stations spatiales secrètes et le maintient d’une armée d’astronautes dans l’espace.

Des indices importants pourraient émerger des archives de Reagan, récemment publiées, sur la flotte spatiale secrète du Strategic Command.

Plus important encore, le public pourrait bientôt se renseigner sur les technologies antigravitation avancées qui ont été secrètement développées et utilisées pendant des décennies pour transporter des astronautes militaires dans l'espace.

Nom de code : Solar Warden

Le déclin de la NASA est inévitable. Si les dénonciations sont exactes, alors la NASA n'est guère plus qu'une couverture pour une flotte spatiale antigravité hautement classifiée qui emmène régulièrement des centaines d'astronautes dans l'espace. Le nom donné à ce projet secret est « Solar Warden ».

La première référence à Solar Warden a eu lieu en mars 2006. Une source fiable, selon les administrateurs de l'Open Minds Forum, a révélé son existence et ses capacités.

Si les commentaires de Reagan et les témoignages des lanceurs d’alerte sont corrects, alors le centre opérationnel de cette flotte spatiale antigravité secrète est le commandement stratégique américain.

L'existence de Solar Warden, si elle est vraie, prouve que la NASA est un programme de couverture utilisant des technologies de propulsion de fusées archaïques. Si tel était le cas, le programme « futuriste » appelé Constellation visant à emmener des astronautes sur la Lune et sur mars ne serait qu’un programme pour couvrir un programme spatial existant déjà qui effectue régulièrement des missions interplanétaires à l'aide de technologies avancées de propulsion antigravitationnelle.
 

Une flotte spatiale antigravitationnelle

Tous les programmes spatiaux sont une couverture qui existe pour tromper les gens de ce monde. Il existe une flotte spatiale qui porte le nom de code « Solar Warden ». En 2005, il y avait huit navires, l'équivalent de porte-avions et quarante-trois « protecteurs », qui sont des avions spatiaux. L'un d'entre eux s'est perdu récemment lors d'un accident sur l'orbite de Mars alors qu'il tentait de réapprovisionner la colonie multinationale à l'intérieur de Mars. Cette base aurait été établie dès 1964 par un travail d'équipe assez surprenant entre les américains et … les soviétiques. Oui, c’est assez surprenant quand on sait que le premier pas sur la lune n’a eut lieu qu’en 1969 et que le premier homme dans l’espace date de 1961. 1994 serait déjà une date plus crédible.

Une autre source décrivant Solar Warden provient d’un lanceur d’alerte anonyme connu sous le pseudonyme de « Henry Deacon » qui travaille dans les laboratoires de Laurence Livermore en tant que physicien. La véritable identité de Deacon est connue des créateurs du site Web Project Camelot qui ont été témoins de ses références et croient qu'il est crédible. Selon Project Camelot, "Henry a confirmé l'existence d'une grande base habitée sur Mars, fournie par une flotte spatiale alternative (nom de code SOLAR WARDEN)."

Selon le manuel de Wiliam Arkin pour les noms de code militaire qui désigne des séquences alphabétiques spécifiques à deux lettres à des projets militaires américains distincts, Solar Warden s'inscrit dans un projet de commandement des forces interarmées. Cela suggère que Solar Warden est opérationnel dans le cadre du Strategic Command.

Si Solar Warden a réussi à établir une colonie de Mars en utilisant des systèmes de propulsion antigravitationnels, cela pourrait expliquer pourquoi la recherche antigravité est devenue hautement classée au milieu des années 1950. Cela expliquerait aussi pourquoi les chercheurs civils qui ont reproduit avec succès les technologies antigravitationnelles ont été impitoyablement démontés comme cela a été le cas pour Otis Carr en 1961.

Nous sommes bientôt en 2020 et quand on voit les progrès qui ont été faits en terme de recherche spatiale entre 1960 et 1980, comparés à ce qui a été accomplit ces quarante dernières années, on peut se poser des questions. Ce n’est pas possible que tout se soit presque arrêté au début des années 1980. Ou alors les choses ont été faites en secret.
 

Le déclin de la NASA

Le déclin constant de la NASA depuis l’époque des missions Apollo n'a rien à voir avec la compétence et l'expertise du personnel de la NASA. La réalité politique est que des programmes militaires très compartimentés empêchent les technologies d’antigravitation d’avancer dans le secteur public pour une application commerciale.

Un nombre croissant de lanceurs l’alerte et d'experts signalent l'existence d'un programme spatial antigravité hautement classifié qui peut placer des centaines d'astronautes militaires dans l'espace. Si Solar Warden ou un programme militaire classifié similaire existe, alors il est compréhensible que le président Obama ait retardé la nomination d'un nouvel administrateur de la NASA.

Le nouveau programme Constellation de la NASA, basé sur les technologies de propulsion des fusées vétustes des années 1940, est un programme de couverture qui ne mérite pas d'être financé. Au lieu de cela, les projets militaires et corporatifs américains impliquant des technologies antigravitationnelles avancées et les moyens par lesquels ceux-ci ont été acquis doivent être exposés au monde.
 

Une technologie extraterrestre

Le nom « Solar Warden » est un terme qui se réfère génériquement à la flotte spatiale ultra-secrète des Etats-Unis. Si ce programme existe vraiment, il faudrait une énorme quantité de capital pour construire ses flottes de vaisseaux. L'année dernière, le budget noir des États-Unis pour les programmes secrets couvrant des dizaines d'agences était de 52,6 milliards de dollars, selon le Washington Post. Le projet Solar Warden serait partagé entre plusieurs nations. Elles contribueraient en injectant de l’argent ou en fournissant divers équipements.

Selon William Tompkins, un lanceur d’alerte célèbre :
Nous avons visité toutes les planètes de notre système solaire, à l'exception de Mercure. Nous avons atterri sur Pluton et quelques lunes. Ces navires contiennent du personnel de nombreux pays qui ont prêté serment au gouvernement mondial. La technologie provenait de l'épave de l'ingénierie des disques aliens et parfois de l'aide étrangère.
 

Tompkins explique aussi dans les détails sur la façon dont il a été recruté dans le programme d'espionnage clandestin de la Marine pendant la Seconde Guerre mondiale pour étudier et désosser les vaisseaux spatiaux anti-gravité conçus par les nazis.

Tompkins affirme que des agents ont révélé dans les débriefings top secret que jusqu'à et pendant la Seconde Guerre mondiale, il y avait deux programmes de soucoupes volantes en cours de développement. Le premier était un effort largement civil qui a précédé l'arrivée au pouvoir des nazis en 1933, tandis que le second était dirigé par les SS nazis.

Tompkins a déclaré que le programme spatial civil allemand avait été inspiré par un groupe nordique d'extraterrestres reptiliens qui communiquaient à travers de jeunes femmes allemandes. Sur ce point, la crédibilité de William Tompkins en prend un coup.

Selon nos informations sur le sujet, il y aurait eut un mémo secret émis par Trump peu de temps après son entrée en fonction le 20 janvier 2017, pour déclassifier des brevets secrets impliquant des technologies de la santé et de l'énergie libre. L’affaire est donc à suivre de très près.

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